Pour des millions d’enfants du monde, en particulier les jeunes enfants réfugiés, la magie de Noël n’existe pas. Pour fuir leur pays, ces enfants peuvent avoir enduré des traversées difficiles avant d’arriver dans les camps, avoir subi le traumatisme d’un deuil ou la séparation d’avec un proche.
Ils m'appelaient "Baba" Je retrouve en fin de soirée à l'aéroport d'Addis Abeba (Ethiopie) les huit enfants que je vais prendre en charge pour les amener à Toronto via Francfort.
Je suis encore salarié d’une entreprise que j’ai créée et depuis dix ans je suis bénévole pour l’association Aviation sans frontières en tant que mécanicien avion ,