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KARIN

Rencontre avec Karin Tourmente-Leroux, hyperactive bénévole de la com

01/08/2016

« J’ai découvert Aviation Sans Frontières un peu par hasard en regardant l’émission de Michel Drucker Une nuit avec les héros de la santé, diffusée sur France 2 en janvier dernier. J’ai vraiment eu un coup de foudre pour l’ONG. Et puis, ça tombait bien puisque c’était pile-poil au moment où j’avais envie de changer de vie ! Après un burn-out en 2015, mon médecin me disait que j’étais faite pour l’humanitaire. C’est vrai que ça trottait dans ma tête, mais de là à m’impliquer dans un secteur que je ne connaissais pas...

J’en ai alors parlé à mes enfants. Et ils m’ont dit tout de suite : « mais oui, Aviation Sans Frontières, c’est là où il faut que tu ailles ! » L’émission était diffusée le 5 janvier, j’ai décidé de changer de job le 6 et je crois avoir contacté Aviation Sans Frontières le 7 janvier. Je me suis d’abord occupé de ma réorientation professionnelle pendant un mois avant d’intégrer l’équipe de Juliette, responsable de la communication.

Après avoir travaillé comme journaliste puis responsable de la communication d’un homme politique et d’un parti politique, j’ai décidé, en parallèle de mon engagement comme bénévole au sein d’Aviation Sans Frontières, de créer ma petite agence de communication.

Je souhaite apporter ma contribution au développement de la notoriété de l’ONG, notamment auprès du grand public, par la presse ou encore grâce aux réseaux sociaux. Comme j’ai un carnet d’adresses, l’idée est d’en faire bénéficier l’association.

Je crois que, dans tout ce qui est communication, il faut oser et laisser la porte ouverte aux délires. Il ne faut pas minorer la moindre idée. Après, soit les gens suivent ou ne suivent pas, soit les gens acceptent mes délires ou ne les acceptent pas. En tous les cas, à Aviation Sans Frontières, l’équipe communication sait les entendre et a l’esprit très ouvert ! Ça ne veut bien sûr pas dire que ces délires sont tous bons. Mais peut-être que parmi les 10 000 idées, il y en a une de bonne. Seulement, comme j’ai un peu trop d’idées, il arrive que parfois je saoule les gens… Mais j’assume ! »